J’ai accumulé plus de textes que je ne m’en souviens, surement des impostures textuelles, sans importance, des amoncellements de feuilles jaunies, des faillites d’idées, des pertes sèches, des mots jamais prononcés.
Ici j’aurai peut-être le temps et l’espace pour les rassembler, au fur et à mesure qu’ils se dévoileront, un corpus entropique naîtra.